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Glandaz Lionel Jean
 Ordre de l’Armée. Ordre général n° 23 du 14 octobre 1916.
« Blessé deux fois dans l’Infanterie avant de passer dans l’Aviation. Depuis son arrivée à l’escadrille n’a cessé d’être un exemple d’audace et de sang froid. S’est distingué au cours de plusieurs bombardements de nuit et tout spécialement les 14 et 15 septembre 1916 en accomplissant sa mission malgré de graves avaries survenues à son moteur. » Ordre de l’Armée n°2 du GAC du 5 juillet 1917. Lieutenant d’Infanterie, pilote à l’escadrille V 110 canons : « Officier pilote de grande valeur. Dans les nuits du 23 mai et 13 juin 1917 est descendu à moins de 300 mètres pour bombarder avec plus de précision des objectifs situés à 45 et 80 kilomètres à l’intérieur des lignes ennemies. » Ordre de l’Armée. Ordre général 566 du 28 mars 1918. « Chef d’escadrille d’élite. Donne à tout son personnel l’exemple des plus belles qualités militaires. Toujours en tête pour remplir les missions les plus périlleuses. Compte de nombreux bombardements de nuit accomplissant jusqu’à trois expéditions successives sur le même objectif. Coutumier des reconnaissances à longue portée, s’est particulièrement distingué dans la nuit du…… en effectuant un parcours de 200 kilomètres au-dessus de l’ennemi, rapportant de précieux renseignements. » Chevalier de la Légion d’Honneur n° 9001 du G.Q.G du 12 août 1918. « Officier d’élite, entraîneur d’hommes, fait preuve chaque jour à la tête de son escadrille des plus belles qualités d’audace, de ténacité et de conscience. A exécuté plus de 75 bombardements de nuit. 2 blessures. 4 citations. » La présente nomination comporte l’attribution de la croix de guerre avec palme. Ordre de l’Armée n° 137 du 12 novembre 1918. « Officier de haute valeur. Aussi brillant exécutant que dirigeant distingué. Placé à la tête d’un groupe de bombardement en a obtenu le rendement maximum. S’est particulièrement distingué au cours des récentes opérations en atteignant des objectifs très éloignés et de toute première urgence. Le 29 octobre 1918 a effectué une reconnaissance de nuit de plus de 200 kilomètres au-dessus de l’ennemi et en a rapporté de précieux renseignements. » Entré en service dans les Chasseurs à Pied, le 13 août 1914 Commandant de l'escadrille SPA 153 du 1er juillet 1917 au 25 septembre 1918 Victoires 16 septembre 1916 Louis Gigodot et André Steuer , avion allemand abattu à Chaulnes-Biaches |
